Une tente comme seul refuge contre le froid hivernal.
À Toulouse, entre 300 et 350 réfugiés albanais dorment dans des conditions similaires. 3 camps comme celui-ci, situé en bord de Garonne, accueillent des hommes mais aussi des femmes et des enfants.
Comme Mohrram, des centaines de réfugiés albanais espèrent obtenir le droit d’asile et un accueil dans un hébergement.
À Toulouse, selon le Collectif d'entraide et d'innovation sociale, 2.000 personnes vivent dans ces conditions, dans des squats et des bidonvilles.
