42 184, c’est le matricule que portait Andrée Julien, déportée en 1944 dans le camp de concentration de Ravensbrück. Aujourd’hui âgée de 95 ans, la Nîmoise nous confie ses souvenirs devant la caméra de viàOccitanie.
42 184, c’est le matricule que portait Andrée Julien, déportée en 1944 dans le camp de concentration de Ravensbrück. Aujourd’hui âgée de 95 ans, la Nîmoise nous confie ses souvenirs devant la caméra de viàOccitanie.