À 86 ans, Émile vit seul et reste alité. 3 fois par jour il reçoit la visite d'une auxiliaire de vie et d'une infirmière. Une infirmière qui ne viendra plus. En cause la faillite de son employeur l'association " la vie en douce" (service d'aide à la personne et centre de soins infirmiers)
La direction de l'association est sous le coût d'une enquête de la gendarmerie pour malversation financière (détournement de fonds) et a de ce fait perdu l' agrément du département et son financement...
Conséquence, 137 auxiliaires de vie et 14 infirmières sont impactées. En larme Élisabeth infirmière ( employée depuis 2 ans a reçu une lettre l'invitant à rester chez elle), effectue ses dernières visites dans l'incompréhension la plus totale. (plus inquiète pour le devenir des patients que pour elle / continuité de soin et lien social )
La famille qui voulait privilégier pour Émile le maintien à domicile, se trouve dans une impasse
