Belle gueule, poli, gendre idéal selon son entraîneur, Philippe Gardent... dans un café au pied de la basilique Saint-Sernin, lieu cher à Claude Nougaro, Maxime Gilbert a accepté d'évoquer avec nous sa vie dans la Ville rose.
Arrivé à 18 ans pour faire ses études en STAPS (fac de sport) et pour intégrer le centre de formation du Fenix Handball, ce Girondin d’origine a Toulouse chevillé au corps. Incontournable pour Philippe Gardent, il sait aussi que l’avenir d’un sportif s’écrit en pointillé.
Au mois de juin dernier, lors du match face à Nîmes, il se blesse au genou. Victime d'une rupture du ligament, il est écarté des terrains pendant 8 mois. Une épreuve difficile pour un sportif mais qui lui a permis de s'endurcir.
Après un mois de retour à la compétition, Maxime Gilbert regarde l'avenir avec enthousiasme. Il espère que son club, le Fenix, pourra se qualifier pour la finale du Final Four. Avant cela, il faudra se défaire d'Istres, leader de division 2, en demi-finale.