Octobre 2014, l’Hérault vit un épisode pluvieux important. Le village de Grabels connaît des inondations historiques pour la commune. Une vague de 2,50m se déverse dans ses rues. Quatre ans après, le maire se souvient. Et selon lui, pour réussir à traverser psychologiquement cette épreuve, une seule solution : rester soudés.
Car cette peur peut rester longtemps après le traumatisme. Beaucoup de dépressions naissent de ces épisodes d’inondations ou certains perdent tout. Dans les cas aussi extrême, des cellules psychologies sont mises en place pour les victimes. Mais forcément, elles resteront marquées à vie. Dans le cas de l’Aude, une cellule d’urgence médico-psychologique a été mise en place aux urgences de Carcassonne.
