C'est une tradition qui dure depuis 30 ans. Chaque année au mois de septembre, Max Roustan, maire d'Alès et ancien apiculteur vient récolter le miel produit dans sa ville.
Un exercice auquel l'élu se prête volontiers devant les journalistes. Une tradition qui dure depuis 30 ans, lorsque Max Roustan a été élu à la mairie d'Alès. C'est l'occasion pour le maire, ancien apiculteur, de communiquer sur la qualité de l'air et de l'environnement d'Alès, puisque que l'abeille est un bio-indicateur de la qualité de l'air, un atout que la ville ne cesse de mettre en avant pour attirer sur son territoire depuis la fin du confinement.
En juin 2020 dernier, la ville a lancé une vaste campagne de communication dans le métro parisien avec plus de 700 affiches au slogan "Alès, la capitale qui ne manque pas d'air". Les abeilles signe d'une faible pollution pourtant contrairement aux idées reçues, le confinement n'a pas eu d'influence sur la production de miel en Occitanie. Les récoltes sont dans la moyenne et toujours perturbées par les mêmes fléaux, le varois et le frelon asiatique qui impacte le secteur depuis près de 10 ans. Olivier Fernandez, Président du Syndicat Apiculteurs nous explique en quoi ce frelon ébranle l'économie du secteur.
