La signature de la convention du projet "Méditerranée" est actée. Le projet permet de nouvelles perspectives pour la prédiction des épisodes cévenols notamment. Des capteurs vont être embarqués sur des bateaux au départ du port de Sète et vont permettre de pouvoir transmettre des informations climatologiques. Grâce au relais nano-satellite In fine, les observations vont pouvoir être envoyées à Météo France ainsi qu'aux autorités.
"Confronter les intuitions à la réalité"
Le but étant d'anticiper les fortes pluies ou encore les événements liés au changement climatique. "Cette innovation, elle suppose de prendre des risques, d'ouvrir de nouvelles pistes et de confronter les intuitions à la réalité avec des démonstrateurs", affirme Annick Girardin, ministre de la Mer. Cette convention a été signée par le centre spatial de l'université de Montpellier avec l'Institut nationale de l'information géographique et forestière (IGN), l'école d'ingénieur ENSTA Bretagne, le Port de Sète et Météo France. La fondation Van Allen et le CNES ont été des soutiens dans ce projet "Méditerranée".