Ils sont chaque année de plus en plus nombreux à se lancer dans l’aventure. Pourtant les débouchés après des études d’art contemporain sont de plus en plus rares, à l'heure où la France ne représente que 4% du marché mondial de l’art. À Montpellier, les enseignants tentent donc d'adapter leurs cours à l'évolution du marché du travail.
Les étudiants des beaux-arts de Montpellier peuvent se rassurer, ils bénéficient d'un système unique en France : le MoCo (Montpellier Contemporain), une structure tripartite qui vise à associer les étudiants aux artistes du centre d'art de La Panacée et du nouveau musée en construction de 3.500 m2 dans l'Hôtel MontCalm. L'objectif ? Maîtriser toute la filière professionnelle de l'art, depuis la formation des étudiants jusqu'à l'exposition des œuvres en passant par la production et la médiation de l'art contemporain. Un système ressenti comme un vrai coup de pouce par les étudiants, directement impliqués.
