Les contours se dessinent quant à la prime à l'arrachage. Un peu plus de 30 000 hectares seront éligibles au retrait définitif des vignes sur le territoire Français, quand les syndicats en espèraient 100 000 rien que pour le territoire languedocien. Un arrachage permettant le rééquilibrage des prix de vente.
Ce lundi, le préfet du Gard a rencontré les professionnels du vin avec une question : Arracher oui, mais que faire ensuite des terres ? Julie d'Harlingue est allée poser la question aux agriculteurs. Le préfet qui multiplie les rendez-vous avec les différents syndicats agricoles pour temporiser une grogne qui croît.