Trafic routier, aérien et ferroviaire réduits au maximum, activités industrielles au ralenti, le confinement a mis à l'arrêt toute une partie des activités humaines polluantes. La qualité de l'air s'est modifiée et la baisse des oxydes d'azote est notable. En revanche, l'impact sur les particules fines et l'ozone est à moduler.
Pour Dominique Tilak, directrice générale de l'observatoire régional de la qualité de l'air, Atmo Occitanie, cette parenthèse inédite servira également de base de recherche sur les pollutions à l'avenir.